Arwen Marine
 
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Images du Rassemblement Arwen Marine 2014 au Lac d'Orient
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Arrivée vendredi à midi à la Résidence du Lac pour finaliser l'organisation pratique de l'hébergement et du ravitaillement pour le week-end. Je suis venu avec cinq bateaux sur, dans ou attelés à l'Arwenmobile : outre le Silmaril numéro 1, j'ai mon cher Wood Duck 10 et le Coracle S de Nautiraid sur la remorque, la Yole de Chester gréée que je n'ai pas encore essayée à la voile sur les barres de toit, et un kayak pliant Grand Narak dand la voiture. Je ne sais pas si c'est digne du Guiness Book, mais c'est mon record perso !

 

Aussitôt les derniers détails réglés à la Résidence du Lac, je décharge la Yole de Chester et je la grée rapidement sous l'oeil attentif de Bernard (skipper du Doryplume Prise de Ris'k) qui vient de me faire cadeau de ce coussin de genoux, une super idée pour protéger le brion de nos petits bateaux.

 

Pierre est déjà là avec sa propre Yole de Chester gréée, nommée Atipik, qu'il est en train de préparer avec l'aide de Katia et Pascal.

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J'utilise l'épatant chariot alu Nautiraid pour descendre l'impériale cale de mise à l'eau du port du Mesnil-St-Père. Je vous rappelle que ce chariot est en vente libre pour un prix risible.

 

Après avoir envoyé ma misaine arisée, je procède au lancement, avec un peu d'avance sur Pierre. La bande de ris permet de réduire la surface de voilure de 1.50 m2.

 

Il y a un hic : le splendide chariot flotte, car le volume d'air contenu dans les pneus génère une flottabilité nettement supérieure à son poids (et je vous fais grâce de la formule de calcul du volume des tores que constituent les chambres à air de ces pneus). Il faut donc penser à amarrer une laisse sur le chariot afin de le dégager de la coque quand on a assez d'eau.

         
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Outre nos deux Yoles de Chester, il y a déjà cinq autres bateaux à pied d'oeuvre : les deux Doryplume Lovedory et Prise de Ris'k, le Pirmil Thema (visibles ici) et les deux Skerry Chasse-Marée et La Marie Pupuce.

 

Le ciel est bien sombre pour cette première journée, mais nous n'aurons pas une seule goutte de pluie sur tout le week-end (et pratiquement pas de soleil non plus, il faut l'admettre) avec un vent de force 1 à 4 et rafales fréquentes jusqu'à 5 : parfait pour le vent, on bossera un peu plus sur le soleil pour la prochaine fois !

 

Et je m'élance sur mon fier destrier ! Notez les deux poches de flottabilité d'Optimist que j'ai coincées de part et d'autre du puits de dérive : au cas où je chavire, cela fera tout ça d'eau en moins à écoper. On voit que je n'ai pas encore abaissé le safran ni la dérive, ce que je ferai dans quelques mètres, dès qu'il y aura assez de profondeur.

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Je retrouve (relativement) facilement mes réflexes de navigation en dériveur léger...

 

L'impression de vitesse est grisante... et la stabilité est très correcte à condition de disposer sur soi (dans ses poches ou ailleurs) d'un bon petit lest mobile ! La finesse des lignes de la Yole de Chester est telle qu'elle ne lève aucun sillage : aucune énergie n'est gaspillée à labourer, tout est utilisé pour la propulsion !

 

Je me suis aperçu peu après cette image que je trainais, à mon grand dam, une amarre de 6 m comme ancre flottante, et pourtant j'allais déjà vite. Inutile de dire que ça allait encore mieux après l'avoir ramassée ! C'est le Skerry Chasse-Marée de Didier qui me poursuit.

   

 

   
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Pierre s'élance à son tour sur Atipik. J'ai finalement retrouvé la vraie surface de sa petite misaine : elle fait 3.20 m2 et non 2.80 m2 comme je le croyais et comme je l'ai écrit jusqu'à présent.

 

Malgré le ris que j'ai pris, j'ai encore 1.10 m2 de toile de plus que Pierre.

 

La petite flottille de ce vendredi se rassemble sur la plage en vue de la pause déjeuner. Il nous est presque difficile de nous arrêter de tirer des bords pour aller pique-niquer !

   

 

   
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JiBi nous rejoint avec son Goat Island Skiff Takka en milieu d'après-midi après avoir fait la route depuis La Rochelle : très bel effort de la part de Jibi que de rouler près de 1300 km aller-retour pour venir participer à notre rassemblement !

 

Je me suis suffisamment habitué à la stabilité de la yole gréée pour larguer mon ris (l'opération est facilitée par le système semi-automatique que j'ai installé : on aperçoit ici la poulie de renvoi et le coinceur du guindant, j'ai installé le même système sur la chute, et la bosse est d'un seul tenant) et même sortir l'appareil photo pour faire cette image et celle qui suit, ainsi qu'une courte vidéo qui donne une idée du plaisir qu'est ce petit voilier...

 

Katia a embarqué avec Pierre sur Atipik.

   

 

   
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Le beau temps de ce samedi matin nous abandonnera en fin de matinée, en même temps que le vent montera doucement jusqu'à atteindre force 4-5 en fin d'après-midi. Nous nous étalons avec volupté sur la cale du Mesnil-St-Père pour la mise à l'eau du matin. Il est possible de laisser les bateaux amarrés aux pontons du port du Mesnil-St-Père pour la nuit, mais c'est un tel plaisir d'utiliser cette cale...

 

Derrière Atipik, on aperçoit le MOA conçu et construit par Philippe, qui a passé la nuit à bord de son bateau, et le Doryplume Cap93 de Béatrice et Marc, qui ont eux aussi passé la nuit à bord (oui, ils ont dormi à deux dans un Doryplume, c'est certainement digne du Guiness Book !) alors que nous nous prélassions dans les confortables lits de la Résidence du Lac...

 

Voici "l'arme secrête" de Gérard pour son Skerry La Marie Pupuce : ce superbe foc à balestron qu'il vient de terminer de couper et de coudre lui-même. J'ai assez critiqué son essai précédent (rappelez-vous mon appel à cotisation...) pour saluer ce superbe accomplissement. Gérard nous a (presque) promis une conférence sur la coupe et la couture des voiles par soi-même pour l'année prochaine.

   

 

   
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Ludo nous a rejoint avec son Skerry Anouket et Charles avec son Elorn Txakoli.

 

J'allais écrire "la mer est d'huile ce matin", mais bon, je me retiens...

 

Une grande partie du plaisir de ces rassemblements de petits bateaux est de discuter "chiffons" sur la cale avec les autres skippers-constructeurs, et quand la cale est aussi belle qu'au Mesnil-St-Père...

   

 

   
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Quand deux Doryplume rencontrent deux Skerry...

 

Et de trois (Doryplume) ! Damned, Ludo est cerné !

 

Plus je vois le petit foc des Doryplume (sans parler de celui de Gérard), plus je me dis que ce n'est finalement pas si mal d'avoir une petite voile d'avant en plus de la misaine...

   

 

   
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De gauche à droite, tous plans confondus : Takka, Liliplume, Cap93, Txakoli, Prise de Ris'k, Thema, Lovedory et Anouket.

 

Thema s'en va mouiller l'une des deux bouées-catamarans que j'ai bricolées avec deux flottabilités d'Optimist, trois bouts de bois et de l'élastique. Nous n'utiliserons d'ailleurs pas du tout la seconde et assez peu celle-ci, il faut bien le dire.

 

Charles-Edouard et Rémy finissent de gréer Txakoli, leur Elorn dont le franc-bord a été augmenté par addition d'un bordé supplémentaire.

   

 

   
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Takka, Liliplume et Chasse-Marée.

 

La flottille s'étale au second plan, derrière Cap93 au premier plan à gauche et Txakoli à droite.

 

Je m'apprête à mettre le Silmaril à l'eau, avec un peu de retard par rapport au reste de la flottille.

   

 

   
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Voilà qui est fait.

 

Benoit teste le chariot Nautiraid avec son Skerry Bahari (vous ai-je déjà dit comme cette cale est belle ?)

 

Chasse-Marée, Prise de Ris'k, MOA, Takka, Anouket, La Marie Pupuce et Love Dory.

   

 

   
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Au premier plan, le Skerry Bahari, puis le Doryplume Cap93 et le Silmaril.

 

De gauche à droite, le Skerry La Marie Pupuce, le Doryplume Liliplume, le Silmaril masquant l'Elorn Txakoli.

  Le Skerry Chasse-Marée et l'Elorn Txakoli.
   

 

   
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Le Doryplume Prise de Ris'k et le noie-chien L'Anglore. Ce bateau (dont je n'ai malheureusement pas fait de meilleure photo - mais j'en ai vu d'autres dans les autres galeries) vient de Callian dans le Var, ce qui représente près de 1600 km de route aller-retour pour venir jusqu'au lac d'Orient : Michel gagne le Pilchards de la plus longue distance !

 

Le PassageMaker Dinghy Joli Jeanlin croise la flotille qui progresse dans la direction opposée, de l'autre coté de la digue du port du Mesnil-St-Père.

 

Benoit s'éloigne à bord de son Skerry Bahari sous le regard admiratif de sa famille.

   

 

   
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Takka, Atipik (à l'aviron), Chasse-Marée, l'Anglore, le Silmaril, La Marie Pupuce et le Bounty de Jean-Pierre masquant Prise de RIs'k.

 

Un bon coup de gîte sur Thema, Katia assure à la barre !

 

Chasse-Marée, le Silmaril et Takka, avec à gauche la proue de Atipik.

   

 

   
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Dominique nous fait une démonstration d'aisance au vent arrière sur Liliplume : essayez un peu pour voir de barrer un Doryplume debout quand le gréement n'appuie pas latéralement...

 

Takka, Liliplume, Chasse-Marée, le Silmaril, Prise de Ris'k, Love Dory et le Bounty de Jean-Pierre.

 

C'est la troisième sortie du Silmaril numéro 1, toujours aussi plaisant.

   

 

   
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La Marie Pupuce, Prise de Ris'k, Txakoli, Thema, le Bounty, Chasse-Marée, pris depuis le Silmaril.

 

La Marie-Pupuce, Chasse-Marée et le Bounty.

 

Didier a fait tout le chemin depuis Brest pour se joindre à notre rassemblement avec son Skerry Chasse-Marée : plus de 1500 km aller-retour, ça c'est de la motivation !

   

 

   
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Je refais un petit essai de ma Yole de Chester gréée. Je suis vraiment très content : elle va très vite et n'est pas du tout aussi acrobatique que je le craignais ! La voile au tiers de 5.80 m2 est tout à fait maniable par petit temps et ma prise de ris semi automatique rend la réduction facile à effectuer sur l'eau. Je me demande d'ailleurs si je ne vais pas ajouter une seconde bande de ris afin de pouvoir réduire à 2.80 m2.

 

Seul point à améliorer : la vergue est un peu souple et fait déverser la voile un peu prématurément à mon goût (ce que montre le pli plus ou moins marqué entre le point de drisse et le point d'écoute).

 

Autre détail mineur : l'humidité de la position assise au fond de la coque car on est assis dans la moindre goutte d'eau embarquée. J'essayerai avec le plancher central...

   

 

   
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Guillaume teste un nouveau gréement sur le Grand Narak 550.

 

Et voici un second Grand Narak 550 : il s'agit de Piteraq avec sa voile en éventail.

 

Le Silmaril, le Skerry Méaban, le Bounty, l'Aber Aber'Ouette, le Goat Island Skiff Takka, le noie-chien L'Anglore, mon petit Wood Duck 10, la Yole de Chester Atipik, le Pirmil Thema, le Doryplume Liliplume, les Skerry Bahari et Anouket, MOA, le PassageMaker Dinghy Joli Jeanlin. Il y a peut-être encore un Doryplume derrière, mais je ne vois pas bien.

   

 

   
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Le nouveau foc sur balestron réalisé par Gérard pour La Marie Pupuce remporte un franc succès. Outre le petit supplément de puissance, ce foc rend le Skerry beaucoup plus manoeuvrant, selon Gérard.

 

Jean-David arrive de Loctudy avec son Skerry Piff. Il est inscrit avec le Skerry Chasse-Marée de Didier pour participer au raid Sail Caledonia, à la fin du mois de mai.

 

Le pique-nique du samedi se tient comme chaque année (lorsque la pluie ne nous chasse pas) sur la pelouse à coté de la cale.

   

 

   
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Et voici le PocketShip ZO, fraichement arrivé, qui se prépare pour sa mise à l'eau.

 

En vue de sa participation à Sail Caledonia, Jean-David a fait tout plein d'aménagements sur son Skerry Piff, dont ces clips de fixation pour les avirons sur l'étrave. Il a aussi une pompe à main fixe, des flottabilités supplémentaires, une coulisse amovible et tout plein d'autres astuces, tout comme sur le Skerry Chasse-Marée de Didier.

 

Manu teste le Wood Duck 10 tandis que l'équipage de ZO termine sa mise à l'eau et que les Grand Narak rentrent tout juste.

   

 

   
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Les deux Grand Narak de Nautiraid.

 

Mise à l'eau de l'Aber'Ouette de Lionel et son équipage.

 

Une fois le pique-nique consommé, les équipages retournent aux bateaux pour une bonne après-midi de navigation, avec un vent qui montera doucement jusqu'à force 4-5 en début de soirée.

   

 

   
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Stéphane est très satisfait du Ganymede sectionnable qu'il vient de finir de construire. Son kayak se démonte en trois segments afin d'être plus facile à transporter et ranger.

 

Ah, si seulement il y avait du soleil... Guillaume essaie la Yole de Chester à l'aviron tandis que le Skerry Méaban court rejoindre la flottille qui s'éparpille au loin.

 

A mon tour de tester la coulisse amovible sur la Yole de Chester. Elle fonctionne parfaitement, je dois juste trouver une façon de l'embarquer sans qu'elle soit gênante pendant qu'on marche à la voile.

   

 

   
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Je cherche aussi une solution pour ajouter des portants repliables qui augmenteraient le bras de levier et permettraient d'utiliser des avirons plus longs (ce sont des 2.40 m sur l'image).

 

La dérive du PocketShip ZO s'est trouvée coincée par des petits cailloux entrées dans le puits et Bruno extrait son pivot afin de la libérer, tandis que le bateau est abattu en carène.

 

Bruno a déposé le gouvernail de ZO, au premier plan, car il aurait gêné l'abattage en carène du fait de sa "plaque d'extrémité" qui lui permet de tenir ainsi debout tout seul, mais dont la vraie fonction est de garantir son efficacité malgré sa faible profondeur en empéchant les flux intrados et extrados de se mélanger.

   

 

   
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Benoit a pris un ris et s'apprête à repartir sur son Skerry Bahari.

 

Bahari va rejoindre le Minahouet Njord, le Doryplume Liliplume, le Skerry Méaban, le Silmaril et le Skerry Anouket. On voit que plusieurs bateaux ont déja pris un ris car le vent a déja un peu augmenté.

 

Le Minahouet Pinocchio devant le Skerry Piff, le Skerry Méaban, le Silmaril, le Doryplume Love Dory et le Pirmil Thema.

   

 

   
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Nous avons monté le Coracle S de Nautiraid pour faire un essai.

 

Son petit gréement de sloop à livarde lui donne une puissance suffisante avec un centre de poussée vélique assez bas et des espars courts.

 

En route pour l'essai !

   

 

   
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Gérard teste le Wood Duck 10 tandis que le vent a déja bien forci : on voit que le Doryplume Love Dory sort avec sa petite misaine de 3.50 m2 et son foc alors que Thema a pris ses trois ris et Chasse-Marée a aussi pris celui que Didier a fait ajouter dans sa voile à livarde de 5.10 m2.

 

Une accalmie sous un rayon de soleil montre tous les bateaux un peu encalminés sous leur voilure réduite.

 

Le Doryplume Liliplume à fond au près avec un ris dans sa misaine.

   

 

   
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Gérard a lui aussi pris les deux ris de sa misiane.

 

Nous sommes gratifiés d'un rayon de soleil pendant le pique-nique du dimanche pour nous consoler d'avoir dû renoncer à traverser le lac pour aller pique-niquer dans l'anse de la Picarde, selon la tradition. En effet, le vent s'est établi à force 3-4 avec rafales et le retour aurait du être fait au près : nous avons préféré jouer la sécurité car nous n'avons pas de bateau accompagnateur motorisé.

 

Les apparitions du soleil se font plus fréquentes l'après-midi alors que chacun commence à désarmer après avoir tiré encore quelques bords sur ce joli lac d'Orient. Rendez-vous l'année prochaine au même endroit, du 24 au 26 avril 2015 !

NB: Dites-moi si vous préférez le week-end suivant, du 1er au 3 mai.

         

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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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