Arwen Marine
 
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Rassemblement avril 2012 au lac d'Orient
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Photos Arwen Marine. La plupart de ces photos ont été prises par Igor, que je remercie ici pour ces magnifiques images et pour avoir assuré l'essentiel de la logistique de ce mémorable évènement (sans toi je ne suis rien !)

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J'ai donc terminé le Grand Skerry "Gandalf" juste à temps pour aller le tester sur le lac d'Orient à l'occasion du rassemblement de printemps qu'organise Arwen Marine depuis des générations (en fait ce n'est que la seconde édition, mais j'ai bien l'impression que nous avons démarré là une tradition ancestrale). Cette photo montre le mât de Thema et je me trouve très honoré que le pavillon Arwen Marine se trouve en si noble compagnie.

 

Voici Gandalf sur une remorque un peu courte pour lui : la tête de mât dépasse de deux bons mètres derrière la plaque. C'est encore légal (3 mètres max), et il y a tout de même un peu de poids sur le crochet de la remorque, mais sans plus. J'ai aussi pris mon Wood Duck 10 personnel, que l'on aperçoit sur "Gandalf", mais je n'ai pas eu le temps de préparer le Jimmy Skiff que je comptais aussi apporter.

 

Arrivée sur la luxueuse cale de mise à l'eau du Mesnil-Saint-Père : je finis de tailler drisse, écoute et autres bouts avant le grand moment...

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Mes préparatifs sont ralentis par les salutations et retrouvailles concomitantes à l'arrivée continuelle de participants. Sur les 21 bateaux prévus, seuls trois manquent à l'appel (mais leurs équipages sont bien là : Piejo a un problème de dérive, Babyole a un problème de luxation sur son skipper, et je me suis déjà excusé pour l'absence du Jimmy Skiff.

 

Au premier plan, le Pirmil Thema est arrivé le premier, dès le vendredi midi, et c'est le Skerry "La Marie Pupuce" de Gérard que l'on aperçoit déjà sous voile.

 

Le Wood Duck 10 ne reste pas longtemps à amasser la poussière et Claire part faire un tour de conserve avec Nicolas et Mathieu dans Jouvence.

         
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Jean-Luc et Benoît m'aident à faire glisser Gandalf de sa remorque.

 

C'est bon, il flotte, mais je ne sais toujours pas combien il pèse effectivement, mais je suppose que tout gréé, il dépasse allègrement les 150 kg.

 

Et voici l'escadron helvétique : le PassageMaker "Chasse-Spleen" derrière Jouvence.

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Je n'ai pas compté, mais j'ai bien l'impression que les voiles rouges étainent majoritaires pendant le week-end : en voici déjà trois sur cette image.

 

Arrivée des deux Skerry "Piff" et "Malo", derrière la puissante berline de Jean-David (Fiat Panda, sans publicité : la légèreté des deux bateaux permet de les tracter avec une puissance... modeste). Jean-David et Olivier furent mes premiers clients en "construction accompagnée" en avril-mai 2010.

Et à l'arrière-plan, c'est bien "Zo", le premier PocketShip d'Europe, mais bientôt plus le seul, car Christian a commencé la construction du second au pied des Pyrénées (orientales). "Zo" a fait l'objet en mars dernier d'un essai publié par le magazine "Voiles" dans son numéro de mai 2012 (en kiosque au moment où j'écris, je dis ça comme ça, vous faites ce que vous voulez).

 

Et c'est parti, j'ai sorti les avirons pour m'écarter du rivage afin de mettre la dérive, baisser le safran et remplir les deux réservoirs de ballast, pour l'instant fermés. Je précise que la planche qui flotte à coté de Gandalf n'appartient à aucun bateau Arwen Marine présent sur le plan d'eau. Gandalf flotte visiblement bien au-dessus de sa flottaison théorique en charge. Ces essais montreront que le ballast doit en effet être rempli lorsque l'on navigue seul à bord ou en équipage léger, mais il doit être vidé quand on est nombreux et musclés, afin de récupérer de la hauteur de franc-bord.

         
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Malheureusement, j'ai mal choisi l'emplacement des vide-vite, et ils ne génèrent pas d'effet Venturi (d'aspiration, pour ceux qui n'ont pas suivi les Nouvelles), donc ils ne vident pas l'eau. Et comme je n'ai pas pensé à prendre de pompe, pas possible de vider les réservoirs de ballast sans une longue corvée d'écopage (j'aurais pu sortir le bateau de l'eau pour les vider par gravité, mais nous n'avons pas eu assez de temps pour le faire.

Mais sur cette image, le ballast est encore vide, et on voit que Gandalf flotte bien haut sur l'eau. A cette vitesse, les vide-vite ne marcheraient pas de toute façon ! Je déguste les premières impressions sous voile avec la toute petite brise, qui se renforcera heureusement un peu plus tard.

 

Je suis rejoint par Thema, Jouvence et La Marie Pupuce, et Gandalf s'enfonce doucement car les bouchons des réservoirs de ballast sont dans ma poche... Second souci, moins ennuyeux que l'emplacement des vide-vite, l'évent du réservoir bâbord est obstrué, sans doute par l'époxy chargée qui colle le tube au passage à travers le plancher. J'ai fait cette mise en place un peu vite et j'ai négligé de vérifier que la voie était restée libre. En attendant un débouchage assez délicat, il suffit d'ouvrir la trappe de visite pour faire évent.

 

Le bonheur de glisser tranquilement et sans un bruit sur un miroir...

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Retour à la cale de mise à l'eau pour accueillir les nouveaux arrivants. Le ballast est maintenant plein et avec une seule personne à bord, la carène est dans ou un peu au dessus de ses lignes. J'aurais un peu d'hésitation à m'installer ainsi sous le vent dans un Skerry, même avec si peu de vent, mais Gandalf est assez lourd pour que je me sente tout à fait à l'aise.

 

J'ai prêté Gandalf à Gérard, et c'est le PassageMaker "Joli Jeanlain" qui sort à son tour.

 

Benoît est arrivé de Liège avec son Skerry "Bahari", qu'il a réalisé en "construction accompagnée" à l'atelier en juillet dernier. Benoit n'a pas eu l'occasion de naviguer sur Bahari depuis lors.

         
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Mise à l'eau de "Zo" : il y a juste un an que nous lançâmes (j'ai vérifié, il doit bien y avoir l'accent circonflexe, et j'ai 1000 points de bonus) "Zo" sur cette même cale...

 

Au second plan, entre Bahari et Zo, c'est Tournepierre, le joli Ilur à clin construit et armé par Emmanuel et sa famille. A l'arrière-plan, on aperçoit à terre le Cavelier "Urpekoa" (sous-marin en basque). Charles-Edouard a réalisé Urpekoa en construction accompagnée à l'atelier au début de l'année 2011.

Il commence à y avoir du monde sur cette cale !

 

Urpekoa va prendre la mer (si l'on peut dire), et étrenner son nouveau gouvernail d'étambot, qui remplace une pagaie peu pratique. Notez les bérets et les couleurs basques...

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Tournepierre est lancé, et l'on aperçoit, de gauche à droite : Cotentin, Thema, Gandalf, La Marie Pupuce et Urpekoa.

 

Cotentin, La Marie Pupuce et Thema, avec à l'arrière-plan Malo, le Wood Duck et Piff.

 

Une bonne moitié de la flottille est sur cette image : Cotentin masquant Thema, Joli Jeanlin, Piff, Urpekoa, Malo, An Treizh, Gandalf, La Marie Pupuce, Zo (heureusement qu'on ne compte pas le temps de parole ici, rien que la différence entre ces deux noms...) et Bahari, avec le Wood Duck en premier plan à droite. Cela fait 12 sur les 18 bateaux présents.

         
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Thema, Urpekoa, Malo, Cotentin, le Wood Duck, Chasse-Spleen et Piff.

 

Le Wood Duck, La Marie Pupuce, Urpekoa, Malo, Thema, Cotentin, Chasse-Spleen, An Treizh, Gandalf et Piff.

 

Urpekoa, Malo, Thema, Cotentin, Chasse-Spleen, Gandalf et An Treizh.

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Cotentin et Thema

 

Gandalf et An Treizh. C'est Benoît qui barre (et on dirait que je lui indique de faire un créneau à l'arrivée).

 

On voit qu'avec deux musclés à bord, et ballast plein, Gandalf est bien dans ses lignes, voire un peu trop chargé sur l'arrière : il faudra veiller à s'avancer un peu sur les sièges latéraux. J'installerai un long stick sur la barre définitive.

         
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Thema, An treizh, La Marie Pupuce et Zo. Cliquez ici pour voir la petite vidéo que j'ai faite.

 

Piff masqué par Malo, deux Skerry strictement conformes au plan, y compris le gréement à livarde.

 

Encore plus fort : trois Skerry sur la même image : Malo, Piff et la Marie Pupuce, gréée d'une misaine au tiers. On voit que Gérard filme avec un cadrage "baigneur". Voir la vidéo de Gérard.

         
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Superbe reflet de La Marie Pupuce sur la surface du lac d'Orient, à peine déformée par une petite onde résiduelle.

 

Piff, Zo et Malo. Jean-David a embarqué Claude, temporairement séparé de Babyole. Ambiance étrange par ce petit temps plombé : on se croirait dans un film danois incompréhensible...

 

Gérard sur La Marie Pupuce : que dire de plus sur le plaisir de naviguer sur ces petits bateaux...

         
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Benoît m'a déposé sur le Skerry Bahari, barré par un autre Benoît, afin de l'aider à ajuster son encormat de bôme, et j'en profite pour faire ce portrait de Gandalf.

 

Je trouvais ma voile de 9 m2 petite, mais à voir le rendement qu'elle a par ce petit temps, je crois que je vais faire des économies pour le moment...

 

Benoît dans ses oeuvres. Notez l'épaisseur de ses bancs latéraux : ça ne rigole pas !

         
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Voilà qui donne l'impression d'être suivi : Gandalf, An Treizh et Thema, avec Piff et La Marie Pupuce à l'arrière-plan à droite.

 

Jean-Luc essaie le Wood Duck 10.

 

Vue des cockpits central et avant de Gandalf : on a un peu les pieds sous le menton mais cela reste raisonnablement confortable. Il faudra que je trouve une façon intelligente de ranger les avirons.

         
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Zo, Chasse-Spleen, Thema, Cotentin, Tournepierre, Urpekoa et Malo.

 

Je suis occupé à baisser le safran : je crois que je vais mettre les bouts de pivotement du safran, car c'est assez peu pratique de devoir aller se pencher à la poupe et se tremper jusqu'au coude à chaque départ...

 

Urpekoa : il n'existe aucun kit "voile" pour le Cavelier, et Charles-Edouard a tout conçu et réalisé seul, à partir de cette petite misaine au tiers de prame, que j'avais jadis prévue pour une Arwen.

         
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Martial nous rejoint sur l'eau avec son Doris 17 "Aldies II", sur lequel il a combiné l'installation d'un portant amovible Piantedosi et une version voile de son crû. Le portant est notamment installé par dessus le puits de la dérive pivotante. Malheureusement, le pied de mât était trop peu tenu sur l'arrière et le mât est tombé en avant en abîmant l'astucieux étambrai réversible.

 

A trois personnes à bord, je devrais vider le ballast pour réduire le déplacement de Gandalf, mais ce sera pour la prochaine sortie.

 

Fin de cette première journée : tous ceux qui n'ont pas choisi de laisser leur bateau au ponton le remettent sur remorque jusqu'à demain.

         
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C'est le cas de Gandalf, car je veux aussi tester les manipulations sur sa nouvelle remorque, facilitées par les rouleaux et galets. Le début du chargement est délicat car le ballast plein alourdit considérablement la coque, le temps qu'il s'évacue.

 

Et c'est le moment du dîner à la Résidence du Lac (nous jetons un voile pudique sur les libations de l'apéritif qui le précéda, mais pendant lequel personne n'a fait de photo).

 

C'est le moment où l'on voit que 48 personnes, ça fait du monde ! Après le dîner, Ronan nous a fait une présentation sur les rassemblements "voile-aviron" prévus ce printemps, cet été, ainsi que sur 2013 : plein de belles occasions de naviguer en bonne compagnie !

         
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Le lendemain matin, le réveil est consternant, sous un déluge que rien ne semble vouloir arrêter. Mais à 10h, le soleil sort, et nous laisse une belle brise de force 4 avec de belles rafales, et nous lançons donc les bateaux pour en profiter.

 

Tout est encore bien mouillé par la pluie qui vient de s'arrêter.

 

J'ai pris un ris, et je prendrai même le second en début d'après-midi, pour le larguer aussitôt, car hors des rafales, il ne me restait plus assez de puissance.

         
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Le succès du Wood Duck 10 ne se dément pas...

 

Malo prend la mer (si j'ose ainsi dire).

 

Zélie profite du soleil pour faire trempette, ainsi que Titouan, son frère, mais personne ne les imite, car la température de l'air comme de l'eau reste très fraîche...

         
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Ludo nous a rejoint ce dimanche matin et prépare l'Anouket 2012 : Ludo a encore modifié son gréement. Il avait commencé avec une misaine au tiers, à laquelle il a ensuite ajouté un foc, puis il a remplacé la voile au tiers par une voile à livarde, toujours avec le foc, et la voilà maintenant en sloop aurique (mais avec un mât carbone ultra léger) !

 

Jouvence a gréé un mâtereau pour arborer mes couleurs !

 

"Je plie mais ne romps pas" semble nous dire le mât de Piff, qui semble tout de même peiner à supporter les 5.10 m2 de sa petite voile à livarde.

         
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Ce n'est pas le cas du mien, dont j'ai largement dimensionné de diamètre à l'étambrai, car celui que j'avais fait pour cette même voile sur mon premeir Doris 17 était trop fin et donc trop souple. Celui-ci est assez raide, sans excès, et assez haut pour une voile plus grande, on ne sait jamais...

 

Rencontre de Skerry : Piff est de retour et Bahari se prépare à partir, et Benoit a pris son ris.

 

La voile de Bahari fait un pli entre le point de drisse et le point d'écoute car l'amarrage du haut du guindant n'est pas assez souqué.

         
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Et c'est parti ! Cette image montre que le vent souffle bien car le vent arrière est l'allure la moins rapide à la voile.

 

Cette image est la seule où l'on voie le Doris 17 "Aldies II" sous voile, car dans les secondes qui suivent son pied de mât va ripper en arrière et le mât basculer en avant en cassant l'étambrai. Martial sortira ensuite à l'aviron !

 

Retour de Cotentin, avec deux ris, et départ de La Marie Pupuce avec un seul. On aperçoit la voile de Piff derrière la jetée.

         
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Et voilà Piff, avec lequel Jean-David s'amuse bien !

 

Ludo lance Anouket. Au premier plan, c'est le Doris 17 "Paprika" dont je m'aperçois avec consternation (qui ça?) que je n'ai aucune image sous voile, ni en navigation d'ailleurs. Olivier a construit Paprika en construction accompagnée fin 2010, début 2011 avec moi à Clairoix. Je suis très content des aménagements que nous avons faits à la place de l'arrangement standard, dont Martial est resté un peu plus proche sur Aldies II.

 

Cette photo est amusante pour le panneau : outre le "baignade interdite" (mais personne ne se baigne, monsieur l'agent !), l'amende promise en cas de mise à l'eau sauvage ets encore en francs (et 900 francs, où est-ce que je vais les trouver, monsieur l'agent ?)

         
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Première sortie de l'Anouket 2012. La voile est impeccable, même avec un ris, mais sans foc, Ludo a du mal à virer, et il nous fera une belle démo de virtuosité dans les empannages.

 

On dirait que Tournepierre et Jouvence font la course !

 

Nouveau départ à quatre, on voit que la coque est bien enfoncée, ce qui rend Gandalf humide, faute de hauteur de franc-bord, et il a du coup tendance à passer à travers plutôt que de monter à la vague.

         
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Pause pique-nique : tous les bateaux sont rentrés, et Thema est même déjà sur sa remorque, de même que Paprika et Joli Jeanlain.

 

J'ai loupé l'occasion de photographier six Skerry cote à cote, je n'en ai que quatre (même si Anouket et Gandalf ne sont pas strictement standard).

 

Nicolas nous fait visiter les aménagement d'Aldies II : les trois bancs sont presque standards, et Martial a ajouté des bancs latéraux (peints en bleu marine) qui joignent le banc milieu au petit siège arrière en passant par le banc arrière. L'angle de vue et le gilet de sauvetage masquent l'installation d'étambrai réversible et la flottabilité qu'il a ajoutée dans la proue. On aperçoit le puits de dérive sous le banc central et le portant.

         
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La parenté entre l'étrave des Skerry et celle du Doris 17 saute aux yeux.

 

Juste une jolie image.

 

Gandalf devant Tournepierre : deux filiations totalement différentes...

         
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Tout le monde est en pull ou en polaire (quand ce n'est pas le ciré) sauf Titouan et Zélie...

 

Jean-David teste le Doris 17 de Martial.

 

Retour à la plage. Jean-David a depuis le début le projet d'adapter un système d'aviron à portant coulissant (et siège fixe) sur son Skerry Piff.

         
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Anouket.

 

Après le déjeuner, je fais une dernière sortie avec Ludo (à la barre) et Gérard à l'écope. je comptais faire des photos et/ou vidéos mais je me retrouve avec l'écoute à la main et besoin de toute mon attention...

 

Voici la seule photo faite à bord de Gandalf cet après-midi, faite avant de passer la barre à Ludo, paradoxalement !

         

Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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