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Images des activités en cours à l'atelier

09/08/23
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Suite de la construction du PassageMaker : Je me déguise en Darth Vador pour peindre : les vapeurs de peinture ou vernis polyuréthane sont vraiment nocives... Paradoxalement, la finition est le moment le moins spectaculaire de la construction d'un bateau, ce qui explique l'indigence relative de la présente mise à jour...

 

Entre deux couches de peinture, après avoir dégrossi le mât, je m'attaque à la bôme et à la vergue. J'ai débord "effilé" les extrémités, puis je passe du carré à l'octogone.

  Les copeaux commencent à s'accumuler comme de la neige au pied du mur...
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Ca y est, la bôme et la vergue sont à peu près rondes, et je vais revenir sur le mât afin de le passer de l'octogone au cercle.

 

J'ai fini les quatre couches de peinture noire et je dois retourner la coque (pardon, les coques !) pour commencer le vernis. J'avais intelligemment commencé à lever la coque avec ma chèvre, mais au moment de la tourner, j'ai réalisé que la friction des sangles allait arracher la peinture pas encore très dure, et j'ai décidé d'appeler Igor pour m'aider.

 

Avant d'attaquer les six couches de vernis, j'essaie le gréement : je pensais que le mât serait nettement trop long mais finalement, je ne vais pas le raccourcir. Par contre, je vais pouvoir couper la bôme et la vergue. Sur cette image, la quête est trop prononcée et je trouve le point d'écoute un peu bas : je l'ai diminuée après cet essai. Je suis ravi de la coupe de la voile au tiers fournie par All Purpose (nouvelle marque de Voiles Performance à Lézardrieux). Le pli en diagonale apparent ici se résorbera dès que l'on bordera l'écoute.

         
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Pour le plaisir de quelques photos, je réunis les deux parties du PassageMaker avant de me mettre au vernis.

  Le trait de séparation est presque invisible, si l'on ne fait pas attention. On le verra un peu plus quand j'aurai collé la feuille de mousse fine qui s'intercalle entre les deux demi-coques.  

Cet essai de montage me rassure sur l'ajustement des deux parties entre ellles.

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Voici la liaison entre les deux parties, vue de l'intérieur.

  Après le rabot, la ponceuse, et c'est Igor qui s'y colle ! On m'a en effet souvent demandé qui était Igor. Igor est l'assistant providentiel : souvent c'est mon épouse, comme sur cette image, parfois un voisin ou un visiteur innocent, soudain enrôlé pour une opération délicate ou musculaire...  

Image vespérale après la Nième couche de vernis : la chaude lumière du soir fait des merveilles sur l'okoumé fraichement verni !

         
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Essayage du joint de mousse entre les deux parties avant sa découpe.

  Après avoir découpé le joint, je refais un essayage du gréement afin de déterminer le point de drisse sur la vergue et celui où je vais fixer l'encornat sur la bôme.  

Vue générale de la voile, dont la toile neuve a une couleur étrange sur cette image. Même remarque que ci-dessus (photo 6) sur le pli en diagonale : la voile est trop apiquée, mais dès qu'elle prendra le vent et que les espars commenceront à se cintrer sous la tension, le pli s'effacera. Je n'ai pas fait le transfilage sur la vergue, mais la bordure restera libre.

         
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Voici l'ensemble des espars : de gauche à droite la bôme avec son encornat, la vergue et le mât avec le taquet de drisse et les cales latérales d'étambrai.

  Pose des supports de dame de nage : je perce et fais un premier montage "à sec", je démonte et je mets une bonne grosse goutte de mastic silicone dans le trou de chaque vis avant de tout remonter.  

Et voilà ! J'utilise de préférence ce type de support en angle, qui tient nettement mieux que les supports en applique car les vis travaillent dans les deux plans : vertical et horizontal.

         
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Démonstration d'une chaînette de sûreté de dame de nage : si la dame saute, elle ne peut pas tomber (j'en vois que ça laisse rêveurs...)

  Voici deux images de la Yole de Chester construite par Patrick, sur laquelle il a installé ce petit moteur de 2.3 CV, après avoir doublé le tableau arrière. Notez au passage l'astucieuse transformation d'une remorque à bagages "premier prix" en remorque à bateaux, avec l'addition d'un ber en bois et un timon allongé. Attention cependant à la maréchaussée car il faudrait ajouter une balise accrochée au moteur (et une plaque sur le porte-plaque !) Contrairement à ce que je croyais, la charge peut dépasser jusqu'à 3 m à l'arrière du véhicule, sous réserve de porter une balise et laisser visible la plaque et les feux de la remorque. Par contre, aucun dépassement n'est autorisé à l'avant du véhicule (je pense à ceux qui transportent leur kayak sur des barres de toit).  

Patrick navigue avec sa Yole de Chester sur la Rance entre Dinan et la baie de Saint-Malo. C'est la première fois que je vois une Yole motorisée ! Patrick ne nous dit rien du comportement de la Yole au moteur, mais elle semble l'accepter très bien.

         
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Les trois photos suivantes nous arrivent de Sébastien, qui a construit son Chesapeake 17 LT dans le Val d'Oise.

  Sébastien nous écrit : « J'ai vraiment pris bcp de plaisir à le construire et à m'en servir désormais! C'est vraiment un bateau sympa qui se comporte bien dans la plupart des conditions rencontrées (il loffe un peu par vent traversier comme bcp de km)  

Sébastien a rondement mené sa construction: il a démarré début juin et voilà déjà ses photos !

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