09/04/06 |
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Beaucoup de photos de notre premier exemplaire du Youyou cette semaine, alors qu'il n'a pas encore officiellement rejoint notre catalogue. Le voici fini de suturer, vu de l'arrière. |
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Et de face ! Je ne suis pas très content du brion et j'ai tenté de le "modeler" en le serrant avec ces vis et leurs cales. |
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Avant de commencer à coller, j'ai inséré cette "barre d'ouverture" pour ouvrir le haut de la proue, que je trouve trop refermé. |
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Je viens de faire le joint de l'étrave et je m'apprête à imprégner à l'époxy "claire" la bande de tissu de verre qui vient "armer" ce joint. |
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J'ai également collé les extrémités des bordés sur l'intérieur du tableau arrière, avec un petit bout sur l'arrière de la ligne de quille. |
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J'ai collé la guirlande dans la foulée du joint de l'étrave. La guirlande tient à l'aide de 4 vis temporaires. On voit que le tissu de verre imprégné dans l'étrave est devenu totalement transparent. |
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Et revoici le Wherry d'Annapolis. Il s'agit ici de la coque numéro 2 (voir les semaines précédentes). Après avoir fait les joints intérieurs entre les bordés, je viens d'ajouter des joints-congés entre le bordé et les cloisons et membrures. |
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Je sors la coque pour araser les listons au niveau du haut du carreau avec le "tank" (la ponceuse à bande). |
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Je viens d'arrondir le coin haut extérieur des listons à la défonceuse (un outil que je déteste utiliser, mais irremplaçable pour certains travaux). |
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J'ai fait un ponçage général sur l'intérieur de la coque numéro 2, que voici à coté de la coque numéro 1, enfin finie de peindre et de vernir. |
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Les deux coques vues de face. |
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J'ai fait un peu de "chirurgie réparatrice" au mastic époxy sur le haut bâbord du brion qui n'est pas très réussi. |
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Et je colle les joints entre les bordés : je dépose un filet d'époxy chargée sur chaque joint entre les bordés. |
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J'en profite pour faire ce gros-plan d'une suture après ce premier collage "en pointillés". En effet, j'essaie d'éviter de noyer les sutures dans la résine afin de les retirer sans devoir les chauffer. Je ferai un second passage après les avoir extraites. On voit comme l'époxy mouille le bois en périphérie du joint. Cela montre qu'une partie de la résine pénêtre dans le bois pour créer un joint très résistant. |
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Et c'est l'arrivée à Paimpol devant le chantier de mon frère Gilles : je viens procéder aux premiers essais en mer du Wherry avec Philippe, son propriétaire, et j'ai apporté le Jimmy Skiff afin d'accompagner le Wherry pour son premier contact avec son élément. |
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Philippe commence par essayer l'aviron fixe : il a successivement testé une paire en 2.70 m puis une autre en 2.40 m, et c'est cette dernière qu'il retient, car les grands sont trop encombrants. |
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Après avoir testé l'aviron fixe, nous avons monté le portant à siège coulissant et Philippe essaie les avirons en carbone de 2.90 m. |
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Les "outriggers" du portant permettent de déporter les tolets vers l'extérieur et d'obtenir une envergure de 1.60 m (alors que les dames de nage classiques ne sont séparées que par 0.96 m). |
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Les avirons carbone sont incroyablement légers, et n'ont donc presque pas d'inertie : on ne gaspille presque pas d'énergie sur le mouvement de retour. |
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Il faut observer la coque du Wherry en mouvement pour apprécier la grace de ses lignes mise en valeur par le jeu du petit clapot le long des clins... |
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Philippe me laisse essayer, et je suis scotché par la facilité et la puissance apportée par le portant. La grande largeur de la coque (pour un bateau d'aviron) lui donne une stabilité très sécurisante. |
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De retour sur la grève, il est temps de ranger le Wherry. Le portant monorail se fixe à travers les bancs par deux vis, et il se monte ou démonte en quelques instants. |
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Il est temps de quitter Coz Castel. Dommage que le soleil n'ait pas été au rendez-vous pour que les photos soient un peu plus souriantes... Le poids théorique du Wherry est de 29 kg (en fait le poids réel est plutôt de 32 kg), et il reste très facile de le hisser sur les barres de toit. |
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Denis nous envoie une photo de l'amélioration du profil de la tête de gouvernail du Skerry qu'il a réalisée afin de rendre mobile en vertical sa longue barre franche. La cale que Denis a ajouté sur l'arrière de la tête permet d'éviter que la barre ne "saute" de la tête. |
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Et voici un autre Skerry familier de nos colonnes : celui construit sur des plans légèrement modifiés par Ludo. Voici venu le temps d'aller à l'eau pour les premiers essais. La longueur du pavillon du Plymouth Grand Voyager permet de donner un bon empattement aux barres de toit : aucun risque que le Skerry ne bouge de là tout seul. |
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Temps calme sur la Marne ce samedi pour les premiers coups d'avirons. Anouk est prête à quiter la cale pour les premiers coups d'aviron ! |
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Et voici enfin Ludo aux avirons. Après les images du Wherry ci-dessus, on est impressionné par le volume et le franc-bord de cette coque ! Ludo m'a confié plus tard son plaisir et sa fierté de cette céation de ses mains, et m'a dit que beaucoup de promeneurs et sportifs sur le bord du fleuve se sont arrêtés pour le complimenter sur ce magnifique bateau. |
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