| 08/08/28 |
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Un petit essai du Skerry en eau douce pour la trève dominicale, sur un étang des rives de l'Yonne. Malheureusement, presque pas de vent, et avec deux adultes assez "musclés" à bord (dont votre serviteur), on à le temps d'anticiper les manoeuvres... |
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Suite de la construction du Jimmy Skiff.
Nouvel essayage du mât après le collage du renfort de dessus de l'étambrai. |
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Collage du renfort de dessous de l'étambrai, qui passe l'épaisseur autour du mât à 18 mm. |
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Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
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Je profite du retournement de la coque pour prendre cette image qui montre bien la finesse de la carène du Jimmy Skiff. |
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Je hais travailler. Euh non, je hais travailler cassé en deux et la tête à l'envers ! Du coup, je monte la coque retournée sur des trétaux montés sur des établis. Debout en dessous, tout est à hauteur d'oeil et c'est bien plus facile. |
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Coucou c'est nous ! Voici les vis qui tiennent le pied de mât à travers la sole. Je vais maintenant les remplir à ras à l'époxy chargée. |
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Collage du skeg, constitué de 2 plis de CP de 9 mm. Je ferai un joint-congé plus épais de chaque côté quand j'aurai enlevé les bandes adnésives. |
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Et maintenant, mon moment préféré : l'ouverture du puits de dérive à la scie sauteuse ! Je crois déjà l'avoir dit, j'ai l'impression de commettre un sacrilège inexpiable à chaque fois que je perce le fond d'un bateau... Les taches claires sont les trous des têtes des vis (bouché à l'époxy chargée) qui tiennent le puits de dérive en plus de la colle. |
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Essayage de la dérive dans le puits nouvellement ouvert. |
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Imprégnation de la bande de tissu de verre renforçant le joint congé de part et d'autre du skeg. La fibre de verre doit être appliquée sur le joint encore "humide". |
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Voici la dérive, aperçue deux images plus haut. Elle est constituée de 2 plis de CP de 9 mm : un sacré morceau ! |
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Nouveau retournement de la coque, sur laquelle j'ai passé la veille au soir une troisième couche d'époxy pour finir de remplir la trame du tissu de verre. |
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J'essaie le gréement complet avec la voile pour me faire une idée de l'emplacement des renvois de manoeuvres avec leurs poulies et taquets. Je veux éviter de fixer des taquets sur le mât afin qu'il soit facile à mâter/démâter (façon de parler, pour un cure-dent de 10 kg !) |
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J'ai masqué pour appliquer l'antidérapant : microsphères de verre saupoudrées sur une couche d'époxy fraiche entre les bandes d'adhésif. Miam ! |
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Collage du premier pli du rebord du pontage avant (je n'ose pas parler de brise-lames !) |
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Je perce 4 trous autour de l'étambrai pour le passage des manoeuvres vers les poulies de renvoi du pied de mât : drisse, amure (en double) et contrôle de tension du balestron. |
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Collage des listons, du second pli du "brise-lames" et du renfort de tableau. Une bonne occasion d'aérer ma collection de serre-joints. Moment d'angoisse quand je me suis demandé comment tenir la partie avant des listons, sous le pontage... avec des vis temporaires, bien sûr (et des cales.) |
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Cette vue à contre-jour montre que j'ai aussi passé une nouvelle couche d'époxy sur le fond de la coque et les bancs . On voit bien les zones d'antidérapant qui apparaissent en mat.. |
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